Ces étapes apparaissent dans l’ordre ou le désordre
et sont généralement récurrentes
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# Déni :
- au moment où on est informé de la perte : "ce n'est pas possible"
- plus tard : on se dit de temps en temps, un instant furtif qu’on va voir
la personne au coin de la rue, qu’on va lui téléphoner…
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# Colère : « c’est trop injuste ! Elle était trop jeune pour mourir…et si
gentille en plus…». Cette colère déteint souvent, de manière plus ou
moins durable, dans les autres domaines de vie.
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# Tristesse : « je vais mourir de chagrin », …
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# Marchandage : « j’aurais dû lui dire que je l’aimais… »,
« si j’avais été là, il serait encore en vie … », …
C’est une expression du sentiment de culpabilité.
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# Acceptation de cette perte.
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# Cadeau : on reçoit une récompense de la vie, suite au travail de deuil effectué :
c’est comme une renaissance et on en sort grandi.
Suite à la prise de conscience et l’acceptation de la précarité
de tout ce qui fait notre vie,
on devient à nouveau capable de s’attacher,
comme un défi à cette précarité.
Et chaque petit rien de notre quotidien peut devenir
une grande aventure passionnante…
« Fais des projets comme si la vie était éternelle
et vis les comme si tu devais mourir demain. »